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ARBORISTE DU SUD

FAQ

ELAGAGE

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ABATTAGE

Quand il devient dangereux. L’arbre évolue chaque année : bois, branches et système racinaire. En fonction des conditions climatiques et de son écosystème, le végétal peut devenir dépérissant.

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DEBROUSSAILLAGE

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BROYAGE / DECHIQUETAGE

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DESSOUCHAGE

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LUTTE CONTRE LES RAVAGEURS

Non ! Il ne faut pas dépasser les prescriptions données par le fabriquant : suivre les quantités à appliquer, et ne pas dépasser le nombre d’application. Cela pourrait avoir sinon des effets néfastes sur la plante elle-même. Nous prônons une lutte qui se veut raisonnée, et intégrée. La lutte intégrée se définit par l’Union Européenne comme une « application rationnelle d’une combinaison de mesures dans laquelle l’emploi de produits chimiques phytopharmaceutiques est limité au strict nécessaire pour maintenir la présence des organismes nuisibles en dessous de seuil à partir duquel apparaissent des dommages ou une perte économique inacceptables ».

Les traitements mis en place sont des alternatives durables aux produits phytopharmaceutiques chimiques. Pour que l’efficacité du traitement soit au rendez-vous, il convient de renouveler ce dernier selon le niveau d’infestation. Un calendrier prévisionnel pourra vous être préconisé. Il n’existe également pas qu’une seule et unique méthode de lutte. Si l’on veut maximiser les chances de lutter efficacement contre le ravageur, il faut combiner les différentes méthodes de lutte entre elles.

Une fois l’organisme nuisible identifié, il faut savoir différencier le type d’action le plus efficient : une action préventive ou une action curative. La lutte préventive est constituée de toutes les mesures qui visent à prévenir l’arrivée d’un organisme nuisible. Certaines méthodes de lutte ont une action préventive seulement (la pose de nichoirs à mésange par exemple contre la chenille processionnaire du pin) quand d’autres ont une action seulement curative (lorsque la présence du ravageur est avérée). Il faut donc utiliser la méthode adaptée pour l’action que l’on soit mettre en place.

L’usage des produits phytopharmaceutiques issus de la synthèse chimique, longtemps appelés pesticides, a conduit à des risques sanitaires et écologiques qu’il nous est impossible de négliger. C’est pourquoi leur usage a été restreint jusqu’à devenir interdit depuis le 1er juillet 2022 dans le cadre de la loi « LABBE ». Les alternatives que nous utilisons sont des produits de biocontrôles et/ou des produits utilisables pour l’agriculture biologique. Leurs effets sur l’environnement sont ainsi amoindris. Certains produits demandent le port des EPI (Equipement de Protection Individuelle). Enfin, quelle que soit la méthode utilisée, elle peut entraîner des effets non intentionnels. Pour diminuer ces derniers et assurer de la bonne efficacité de la méthode, la bonne connaissance d’un ensemble de facteurs est fondamentale.

La prévention est d’abord fondamentale ! Un végétal en bonne santé, dans un environnement adapté, pourra se défendre naturellement contre les attaques : choix des essences adaptées, favoriser la présence d’auxiliaires naturels, mesures d’hygiène, fertilisation adéquate, etc. Ensuite, d’autres outils existent, se basant sur l’utilisation de mécanismes naturels : le biocontrôle.

Seules ou associées à d’autres moyens de protection des plantes, les techniques de biocontrôle sont fondées sur les mécanismes et interactions qui régissent les relations entre espèces dans le milieu naturel. Ainsi, le principe du biocontrôle repose sur la gestion des équilibres des populations d’agresseurs plutôt que sur leur éradication. L’ensemble des produits de biocontrôle comprennent en particulier :

  • Les macro-organismes
  • Les produits phytopharmaceutiques composés de micro-organismes, médiateurs chimiques, substances naturelles d’origine végétales, animales ou minérales.

Non. Cela dépend aussi des produits que l’on utilise. Lorsque l’on pulvérise un produit, il faut éviter que le vent déporte ce dernier. C’est pour cela que l’on recommande de ne pas traiter s’il y a du vent au-delà de 19 km/h. Certains produits supportent aussi difficilement les conditions de fortes chaleurs et les rayonnements UV, comme les nématodes. Il faut alors traiter le matin ou en soirée. D’autres produits, appliqués sous certaines conditions par exemple en plein soleil, peuvent s’avérer toxiques pour le végétal : c’est ce que l’on appelle la phytotoxicité. Certains produits demandent enfin également à ce qu’il ne pleuve pas les heures/jours qui suivent pour éviter le lessivage, quand d’autres demandent au contraire un certain taux d’humidité. Conclusion : toujours bien lire les prescriptions !

Tout d’abord, il est utile de savoir reconnaître les frelons. Certains insectes leur ressemblent fortement, et il peut être facile de les confondre. C’est le cas de la scolie des jardins. La scolie est inoffensive pour l’homme et utile à la pollinisation. Aucune action n’est à entreprendre lorsqu’elle est identifiée.

Ensuite, s’il s’agit de frelons, cela signifie que leur nid est à proximité. Si tel est le cas et que les nuisances sont avérées, il peut être utile de traiter le nid. Vous pouvez retrouver ici la page à ce sujet.

Une fois le nid traité, tous les individus présents dans le nids succombent. Toutefois, il arrive que certains insectes ne soient pas dans le nid lors du traitement et désorientés, tournent autour de leur nid. Si leur nombre est important, il arrive qu’ils bâtissent un nid annexe à côté de l’ancien. Mais un nid déserté au début de l’hiver généralement visible lorsque les feuilles de l’arbre tombent, ne sera plus utilisé l’année suivante par une autre colonie.

Il ne faut en aucun cas toucher ou approcher les chenilles processionnaires sans protection ! Ces dernières développent des poils urticants qui peuvent entraîner des rougeurs, démangeaisons voire allergies. Pour les retirer, il faut donc s’équiper de protections oculaires (lunettes), masque, gants et combinaisons si possible, à usage unique.  Ensuite, il faut repérer l’arbre d’où elles viennent. Si des nids sont encore présents, vous pouvez nous appeler pour les retirer et les brûler. Le risque d’apercevoir de nouveau des processionnaires du pin les années suivantes est élevé : il faut donc entreprendre la mise en place de méthodes de lutte contre ce ravageur.

Il s’agit peut-être de l’oïdium du platane ! Facilement reconnaissable par l’apparition de taches blanches à la texture farineuse sur les feuilles, il s’agit d’un champignon qui s’attaque aux platanes. Vous pouvez retrouver ici la page à ce sujet.

Si vous avez un doute, il est possible de réaliser un diagnostic phytosanitaire de votre arbre.

Il s’agit peut-être du tigre du platane ! L’adulte mesure de 3 à 4 mm de long, couleur blanc-crème. On l’observe généralement en juillet-août lorsqu’il est au pic de son activité. Vous pouvez retrouver ici la page à ce sujet.

Si vous avez un doute, il est possible de réaliser un diagnostic phytosanitaire de votre arbre.

Il s’agit peut-être de la processionnaire du pin ! Les chenilles tissent un nid de soie en hiver, et n’en sortent que pour se nourrir. Elles représentent un risque sanitaire pour l’homme, il faut donc faire quelque chose. Vous pouvez retrouver ici la page à ce sujet.

Si vous avez un doute, il est possible de réaliser un diagnostic phytosanitaire de votre arbre.

Il s’agit peut-être du chancre coloré du platane ! Cette maladie est très virulente et est capable de s’attaquer à des platanes même en très bonne santé, provoquant ainsi leur mort en quelques mois. Il est donc impératif d’intervenir rapidement. Classifié comme organisme de quarantaine par l’Union Européenne, la gestion de cet organisme nuisible demande un déroulement des opérations spécifiques, à respecter scrupuleusement. Vous pouvez retrouver ici la page à ce sujet.

Si vous avez un doute, il est possible de réaliser un diagnostic phytosanitaire de votre arbre. Une analyse dans un laboratoire agrée sera à réaliser pour confirmer ou non la présence de ce champignon.

La compréhension de l’architecture et de la biomécanique d’un arbre est complexe. Beaucoup de facteurs sont à analyser et une expertise doit être envisagée pour établir une conclusion sur les potentiels risques de chute d’un arbre, et les préconisations de gestion.

Vous pouvez nous contacter pour vous aider dans cette démarche.

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